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Page:De Balzac - Socrate chrestien, 1652.djvu/280

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Socrate


En quelque haut dessein que ton esprit s’égare,
Tes iours sont à leur fin, ta cheute se prépare,
Regarde-moy pour la derniere fois.

C'est assez que cinq ans ton audace effrontée,
Sur des aisles de cire aux estoiles montée.
Princes & Roys ait osé défier,
La Fortune t’appelle au rang de ses victimes,
Et le ciel accusé de soustenit tes crimes,
Est resolu de se iustifier.

En tout le Poëme il n’y a qu’un mot qui ne me plaist pas,

&