ceci n’est qu’un jeu tout à fait frivole, et j’ai été séduit par l’exactitude avec laquelle Sans Geffroy parodiait le Sans effroi du couplet des Hirondelles :
Voltigez, hirondelles,
Voltigez près de moi,
Et reposez vos ailes
Au faîte des tourelles,
Sans effroi !
Villanelle des pauvres housseurs, page 204. ― Dans sa Ballade
des povres housseurs (édition Jannet, 1867, page 119,) Villon
plaint de tout son cœur ces batteurs de tapis. On parle, dit-il,
De ceulx qui vont les bleds semer
Et de celluy qui l’asne maine,
Mais à trestout considérer,
Povres housseurs ont assez peine.
Les Normaliens m’ont fait penser à ces pauvres housseurs. Ils
s’étaient presque aveuglés, à force de se faire voler de la
poussière dans les yeux, et