Page:De Figuris veneris ou les Multiples visages de l’amour (éd. Chat qui pelotte).djvu/145

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que les autres femmes s’en allaient ; qu’un serpent s’étant glissé auprès d’elle se retira quelques instants après ; qu’à son réveil, elle se purifia, comme si elle fut sortie de la couche de son mari. »

Qu’y aurait-il d’étonnant à ce qu’un serpent de cette espèce fût allé pousser ses investigations, même sans qu’Atia le voulût, en certain endroit que les habitudes des autres femmes lui avaient bien fait connaître, et lui eût laissé, lorsqu’elle s’éveilla, à peu près la même sensation que si elle eût subi un véritable coït ?

Et cela nous amène naturellement à dire quelques mots sur le coït, avec les bêtes et sur quelques autres fantaisies.