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III
DU SUÇAGE
Où l’on verra qu’en amour la bouche peut s’employer
d’agréable manière.
d’agréable manière.
Forberg nomme cet acte irrumation ; nous disons d’un langage accomodé aux exigences modernes : Suçage. « Irrumer, explique-t-il, selon les anciens c’est introduire son membre raide dans la bouche de quelqu’un. Le membre ainsi introduit attend ces frottements soit des lèvres, soit de la langue ; il veut être suçé. » Celui qui suce s’appelait autrefois fellateur.
Cette coutume venait dit-on, de Lesbos et de Phénicie.