Page:De Lamennais - Paroles d'un croyant, 1838.djvu/96

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Mais les petits, les faibles, les humbles, les pauvres, tous ceux qui souffraient, il les aimait d’un amour de prédilection.

Son cœur battait sur le cœur du peuple, et le cœur du peuple battait sur son cœur.

Et c’est là, sur le cœur du Christ, que les peuples malades se raniment, et que les peuples opprimés reçoivent la force de s’affranchir.

Malheur à ceux qui s’éloignent de lui, qui le renient ! Leur misère est irrémédiable, et leur servitude éternelle.