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Page:De Martigny - Mémoires d'un reporter, c1925.djvu/131

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l’étranglement méthodique de quelques « perroquets ».[1]

Comme nous sortions de cette brasserie, rendez-vous habituel de la basoche intempérante et tumultueuse, Jacques Labrie me prit le bras pour remonter le Boul’Mich’.

« — Vois-tu, mon vieux, j’ai un estomac sans moralité que les alcools creusent et que l’eau attriste. Cet état pathologique auquel s’ajoute l’heure du déjeuner, explique mes actuelles préoccupations alimentaires.

« — À Paris, poursuivit-il, il n’y a rien d’impossible. Qui veut manger des choses qui ne l’ont pas encore été, j’entends des

  1. absinthe