Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
X
Puis qu’Amours le te consent,
Par qui as empris l’emprise,
Amis, dont tu m’as surprise,
Mon cuer aussi s’i assent.
Mon vouloir du tout descent[1]
A toy amer sanz faintise,
Puis qu’Amours le te consent.
Si n’a il pas un en cent
Dont Amours m’eust ainsi prise ;
Mais quant c’est par ta maistrise[2]
Ne te doy estre nuisant,[3]
Puis qu’Amours le te consent.
XI