Page:De Pitray - Voyages abracadabrants du gros Philéas, 1890.djvu/173

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Philéas jugea à propos d’en finir par un coup de théâtre.

— Monsieur le curé et vous, messieurs, dit-il avec majesté, les vaines paroles d’une personne que je m’abstiens de qualifier puisqu’elle appartient, quoiqu’à tort, au beau sexe… (On rit ; la vieille se rebiffe.) Ces vaines paroles, dis-je, ne portent point atteinte à des personnes telles que nous ! Par notre richesse et notre position sociale élevée, je me plais à le dire, nous sommes au-dessus de propos stupides pour ne pas dire imprudents. Voulant convaincre cette pauvre insensée de son erreur et arrêter sa langue, incommensurablement longue et