388 ARCHITECTURE HYDRAULIQUE.
jvtermin.iion dans un fluide, et que son côté horizontal supérieur n'éprouve
de* pressons • * i i 1 • S . i 1 » >
wiiont.*nté- aucune pression, et cherchons les pressions horizontales nue- ^ncure'.pé" prouvent, dans une direction quelconque, les parties des faces
une
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"dfrJto antérieure et postérieure de ce parallélogramme, exposées à conaM , l» ac tion du fluide.
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STuxtûlfolonî La dénivellation ayant lieu à la face intérieure du plan jus- ÎÛ^s"'"".',!! qua une hauteur , il faut, pour que le côté supérieur du
iUru un UuiJc.
parallélogramme n éprouve aucune pression , que sa hauteur , au-dessus de la surface supérieure du fluide, soit ou égale à ""' 9 , ou plus grande que cette quantité. Soit AB, n° i, (fig- 161), le parallélogramme en question , la pression horizontale de la différcncio-différenticlleKN est (885) égale k*dhdk(h*±^J;
intégrant une première fois par rapport à A, qui est (883) la projection de FG sur une ligne perpendiculaire au plan vertical qui passe par la direction dans laquelle on considère la près- . «on, on a Afdh (hid^ "JïîL.y, pour la pression horizontale du
rectangle différentiel FI j et intégrant une seconde fois par rap- port à 7i, on a
Le signe supérieur est pour la face antérieure, et l'inférieur pour la face postérieure.
Il est évident que si on supposoit la pression nulle lorsque h = o, ou qu'on n'eût pas égard à la dénivellation, on auroit C = o; d'après cela, la constante C est une quantité qui, lors- qu'on a égard à la dénivellation, doit, pour la face antérieure, s ajouter a la pression qui a lieu au-dessous de la surface du fluide ou de l'origine de h y et, pour la face postérieure, se re-
these dont nous parlons est (904) que As ±1 = o, ou que h* = zp Substituant cette valeur dans l'expression précé- dente , et égalant à zéro , il vient , toutes réductions faites , c ^ u . ^ = Q . ainsi . ^ M une quanlît é constante
qui doit être portée en augmentation de pression pour la iaca
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