Page:De Prony - Nouvelle architecture hydraulique, Première partie, 1790.djvu/407

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section IV. de l'hydrodynamique. entrer en considération la distance des faces antérieure et pos- ^JJ^jJ téricure, et leur différence d'inclinaison, ni en général les dif- jr^JJ^™ férenecs d'inclinaison des différentes faces contiguës qui tenni- d« tan nent un corps soumis à l'action d'un fluide : cependant, en « $ p«"*^é? considérant les dénivellations ducs à ces différentes surfaces, et les influences de ces dénivellations sur la résultante des pres- sions, on parvient à des résultats qui font connoître que cette résultante est susceptible de variations sensibles relativement aux éléments dont on vient de parler. L'auteur de V Examen maritime y a eu égard ; et quoique les recherches qu'il a faites sur cet objet n'aient aucune difficulté, nous ne les rapporterons

Sas à cause de la longueur des calculs. Nous nous contenterons e rapporter la formule qu'il donne pour calculer la résultante des pressions horizontales du solide considéré art. (921 et suiv. ), avec les mêmes hypothèses de mouvement des articles cités ; 7 exprime la longueur du solide dans la direction du mouvement: les faces antérieure et postérieure sont supposées, verticales. Cette résultante a pour valeur ,

(->in.8 -f- ?) v*tiu.'»+ 9 * h(< • .«in. -3 — <;') \

927. Cette expression coïncide avec celle de l'art. (922); SfffcJÎS lorsque a = v sin.fl. lorsque q = o, c'est-à-dire, lorsque le solide ^"âlui &«# est réduit à un plan , elle devient .«éneure « 

postérieure

            • C— ■+• + 6 Jl*2±} ïS&u Z

6 ^(2,^ 4 '" " ' lidedevicfllUlI

pUn.

Cette expression est précisément égale à la moitié de celle trouvée art. (922), plus la quantité / * A ^' in -'* . et lorsque cette

quantité pourra être négligée , pour avoir la résultante de la pression du plan , il faudra prendre la moitié de la résultante de la pression du solide.

• Nous ne suivrons pas l'auteur de Y Examen maritime dans les applications variées de sa méthode, qui sont principalement applicables au mouvement des navires.

Expériences qui confirment la théorie précédente.

Expériences

928. Don George Juan, après avoir parlé de quelques expé- JjÇ riences de M. Mariotte, en rapporte d'autres qu'd a laites pour K?J?ÎÎ2| s'assurer de leur exactitude , et qui s'éloignent beaucoup des

cale expotée a

premières , ainsi que des résultats que donne la théorie ordi- cÔuiTt. du * Tome I. Ddd

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