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liers par piedquarré plus grand que 0,06. M. Coulomb , ayant soumis à l'expérience une surface de 1 pieds quarrés, a trouvé ce rapport égal une fois à o, 77, et une autre fois à o, 071. Ce traîneau, ajoute-t-il, n'avoit point encore pris tout-à-fait son
Soli dans deux jours d'opération, quoiqu'il eût parcouru plus e cinquante fois une course de 5 pieds sous des pressions de 3 et 4 milliers; la résistance due à la cohérence des surfaces étoit, dans cette expérience, de plus de 7 livres par pied quarré.
Expériences llSl. « Lorsque les. métaux, dit M. Coulomb, glissent sur »ur ir mm.. « des bois enduits de matières graisseuses, le frottement en
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contre ie> me- «paroit très adouci, et Ion produit des vitesses insensibles S « avec des degrés de traction moins considérables que dans «toutes les autres espèces de frottement; mais pour peu que «l'on veuille augmenter les vitesses, l'on retrouve, comme «lorsqu'on a fait glisser ( 1140 ) sans enduit les métaux sur le « bois, que le frottement augmente beaucoup avec la vitesse; et «l'on a, pour le rapport do l'augmentation des vitesses et du «degré de traction qui produit cette augmentation, à-peu-près «les mêmes loix que nous avons cherché à déterminer dans «le frottement des métaux glissant à sec sur les bois; mais si «on ne renouvelle pas les enduits à chaque expérience, ils se «coagulent, changent de nature, et le frottement augmente « successivement. »
11 55. La table qui suit présente les résultats des expérien- ces laites sur l'espèce de frottement dont on vient de parler.
