SECTION V. DBS MACHINES ET DES MOTEURS. 5iq
ah = A : on a donc généralement /* = (K 7+/* > ou , en fai- sant ak ess n f
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1331. H, Tl. p + f . nîc, HfJui:.
Equation dans laquelle est un coefficient constant à déter- jî* w e t £ tl £ ,a,i " miner par quelque expérience.
1222. Cherchons maintenant à déterminer les circonstances d .™ OM ^™* du mouvement lorsque le centre de/ gravité de l'homme 'et du f*fâ u d " n i fardeau est lancé dans une direction inclinée à l'horizon. Il est ivICt. d-n* évident que ce cas peut toujours se rapporter à celui où un "r*ioé«!?bo. homme marche sur un plan incliné, car à chaque pas qu'il fait ri * 0 ?\5i?
, 1 ~ i» 1 ■ . peut toujours
il est obligé de donner une impulsion à son centre de gravite pour « «.ppone. n 1 .| il» i • • • ce ' ui ou un
le lancer obliquement du point que ce centre quitte au point homme mjr-
où il doit parvenir au commencement du pas suivant. c ^ n ié!" 1
1223. Le centre de gravité décrit donc un arc de parabole, pendant 1$ durée d'un pas , comme le font ( 409 et art. suiv. ) tous les projectiles lancés obliquement.
1224. Soit ADM (fig. 184 ) un arc ae parabole représentant ^E™','™* celui décrit par le centre de gravité de l'homme et du fardeau , l'homme
et AM le chemin ou le plan incliné sur lequel l'homme mar- che: nous observerons d'abord que la tangente en M doit être horizontale , ou que M doit être le sommet de la parabole. En ef- fet, lorsque cette condition a lieu , la direction du centre de gra« vité se trouve horizontale à la fin du pas ADM, etainsi ce centre de gravité n'appuie pas sur le pied qu on pose alors par terre pour recommencer le pas suivant. S'il en étoit autrement et que le centre de gravité commençât à tomber lorsqu'on pose le pied par terre pour faire un second pas , ce centre appuieroit sur le pied qu'on met par terre et exigeroit une augmentation d'effort pour l'élan qui doit produire le second pas. L'horizontalité de la tangente en M comporte donc moins de fatigue que son in- clinaison; et comme l'homme tend toujours à se donner le moins de fatigue possible, il doit disposer ses pas de manière à ce que cette horizontalité ait lieu.
1225. Soit AN la tangente au point A ou la direction dans la-
3uelle le centre de gravité est lancé au commencement du pas, ",,r^u!io" l V la vitesse de projection. Nommons de temps total quis'écoule Jj,**^ J depuis l'instant où le centre de gravité s'élance du point A avec ionhom- vitesse V jusqu a 1 instant ou, arrive en JYL , il s élance de ce mr implanta- point M pour parcourir un second arc de parabole. On conçoit cl,né " sans peine que le temps t doit être partagé en deux parties, l'une employée à parcourir l'arc ADM , et l'autre employée à se pré-
