DES MATIERES. 5o5 Différentes espèces de moteurs qu'on applique aux maclùnes. Ce qu'on entend par vitesse et effort du moteur. Exemple.
(4oa). Ce qu'on entend par vitesse et effort de la résistance. . ('♦!?•*) Principes fondamentaux de la théorie des machines. Démonstrations de ces principes.
(49 \). L'effet d'une machine se mesure parle produit de U vitesse du moteur, de son effort et du temps.
Le produit de l'effoit par la vitesse étant constant , l'effet est proportion- nel au temps.
(495). Relation entre la vitesse et l'effort du moteur. Application aux fluides. Application aux hommes et aux animaux. Effet de la fatigue dans ces derxiier.es espèces de moteur. (4o6). Expression analytique de la relation entre l'effort du motenr et sa vi- tesse.
(497). Différentes équations qui donnent la -valeur des vitesses de la résis- tance, du moteur et celle de l'effet d'une machine.
(4o8). Le rapport des vitesses du moteur et de la résistance étant supposé variable, trouver une équation entre ce rapport et l'eflort de la résistance , la- quelle équation convienne au plus grand effet de la machine.
On peut s'éloipner un peu de ce rapport , sans que la valeur de cet effet soit changée sensiblement.
(499). An moyen de cette équation, et de trois autres posées précédem- ment , la vitesse et l'effort du moteur sont déterminés.
(ôoo). En supposant le rapport des vitesses constant, et l'effort de la ré- sistance variable, on trouve, pour le plus grand effet de la machine, les mômes valeurs que ci-dessus.
(5oi). Résultats des calculs précédents pour la production du plus grand effet dans une machine.
( 5oi&). Du plus grand effet quand le moteur est supposé variable.
Idem. Le moteur peut être infini sans que l'effet le soit.
(jo3). Conséquence de la théorie précédente. Limite de l'effet des machines quand le produit de l'effort du moteur par sa vitesse est constant.
Dans les machines considérées physiquement, on est toujours en-deçà de cette limite.
Idem. Causes principales des erreurs commises dans l'invention et la con- traction des machines.
(âo4 ). Sous quel point de vue on doit considérer les machines pour travailler fructueusement à leur perfection.
Idem. Premier objet d'utilité des machines.
Second objet d'utilité des machines.
Développement de ce second objet d'utilité.
Autre manière de l'énoncer.
Exemple de ce second objet d'utilité.
(60 >). Ce qui réstdte du cas où le produit de l'effort du moteur par sa vitesse est constant.
Cas où ce produit est variable , et par conséquent susceptible de donner un maximum d'effet.
( jo6). Conséquences générales de l'analyse des deux cas précédents.
( J07). Le mouvement uniforme est le plus favorable à l'effet des machines.
Idem. Conclusion de ce chapitre, où Ton a fait un usage aussi utile qu inté- ressant du principe des vitesses virtuelles.
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