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6i6 TABLE

(1207). Cas particulier t>ù la vitesse paroit influer sur la roideur des cordes. (i2ot>). Conclusion générale des expériences rapportées depuis l'article (1174).

Application de la théorie et des expériences exposées dans les chapitres précédents au calcul d'un cabestan.

Exemple de l'application de la théorie et de l'expérience à la pratique du calcul des machines.

Des forces de l'homme, ou de l'effort dont il est capable sous différentes vitesses, lorsqu'il est employé à porter, pousser, traîner, lancer, et en général à mouvoir des machines.

(1211). Motifs qui engagent à donner une théorie détaillée de la force de l'homme.

(121a). Travail de M. Lambert sur cette matière.

(1213) . Différentes manières dont l'homme emploie ses forces.

(1214) . Manière de considérer le mouvement d'un homme qui marche chargé d'un fardeau.

(1215) . Recherche d'une équation fondamentale applicable au cas où un homme chargé d'un fardeau s'élance verticalement.

(1217) . Exposition de cette équation.

(1218) . Réflexion sur l'application de cette équation.

(1219) . Considérations au moyen desquelles on obtient une intégrale appro^ chée de cette équation.

(1221) . Equation finie, déduite de ces considérations.

(1222) . Mouvement d'un homme chargé d'un fardeau, qui s'élance dans une direction inclinée à l'horizon. Ce cas peut toujours se rapporter à celui où, un homme marche sur un plan incliné.

(1224). Observations sur le pas de l'homme.

(122J). Recherche et exposition d'une équation qui donne la vitesse moyonno d'un homme qui marche sur un plan incliné.

(1228). Comment on introduit, dans cette équation, le poids de l'homme et celui du fardeau dont il est chargé.

(i23o). Equation qui donne le rapport entre la vîtesse de l'homme qui marche, le poids de son corps et de son fardeau et la pente -du chemin sur lequel U marche.

(12.32). Table pour faciliter l'usage de cette équation.

(ia33). De la force centrifuge qui a lieu quand on marche.

(ia34). Vîtesse nécessaire pour que la force centrifuge soit égale à la pesan- teur , et que l'homme qui court avec cette vîtesse , ne pesé point sur le sol.

(1236). Equation qui donne la vîtesse moyenne de la marche , lorsqu'on ne fait qu'un effort égal à celui nécessaire pour se tenir debout sans marcher.

Table pour faciliter cette équation.

(i338). Détermination du coefficient constant de la valeur de la vitesse

moyenne.

(1241). Recherche des pentes qui comportent les plus grandes vitesses , soit en descendant, soit en montant, lorsque l'homme ne fait qu'un effort égal à celui nécessairo pour se tenir debout.

(1245). Position la plus avantageuse d'un homme dans la roue à tympan.

(1247). Recherche et exposition des formules au moyen desquelles le far- deau et Inclinaison du chemin étant donnés, on puisse déterminer l'effort

nécessaire

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