Page:De Prony - Nouvelle architecture hydraulique, Première partie, 1790.djvu/630

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DES MATIERES. 6i 7 nécessaire pour que cet homme fasse plus de chemin possible ayant d'épuiser 6es forces , la vitesse qui en résulte , et le temps pendant lequel l'homme sera capable do supporter cet effort.

Ce que deviennent ces équations lorsqu'on suppose que le plus grand effort dont l'homme est capable est égal au poids de son corps.

(iaj i ). Quantité indéterminée qui reste dans ces <xpiations.

(ia5a). Du cas où le produit de la vitesse par le fardeau est un maximum. .

(ta53). Du cas oii un homme, marchant sur un chemin horizontal , poussa ou tire dans une direction horizontale.

(ia54). Kecherche et exposition d'une équation qui donne la valeur de l'effort horizontal du bras.

(1357). Temps pendant lequel cet effort peut subsister.

ds

mne la vitesse moyenne)

(laôfl). Effort de l'homme pour se tenir droit sur ses pieds enpoussantou tirant. (ia5o). Kecherche et exposition d'une équation qui dour

de l'homme.

(1261). De la relation entre le temps nécessaire pour épuiser les efforts dont les pieds ou les bras sont susceptibles.

(i2(}3) Kecherche d'une équation qui donne l'inclinaison du corps de l'homme nécessaire pour que cet homme , marchant horizontalement , pousse ou tire hori- zontalement avec le plus de force et de vitesse et fasse le plus de chemin possible avant d'être las.

(12G8). Ce qu'on entend j>ar moment statique de l'homme.

(126g). Table pour faciliter l'usage de l'équation précédente, en supposant une valeur quelconque au plus grand effort dont l'homme est capable.

( l2 7°)- Maximum déduit de cette table , et réflexion sur les variations dont le moment statique de 1 homme est susceptible.

(137.3). De l'homme qui marche sur un chemin incliné à l'horizon , et qui pousse ou tire dans une direction quelconqua

Equation qui donne sa vitesse moyenne.

Ce quo devient cette équation lorsqu'on suppose le chemin horizontal.

(1378). Recherche et exposition des équations applicables au cas où le che- min étant horizontal, l'homme tire avec le plus de vitesse et de force , et fait le plus de chemin possible avant d'être las.

(1280). Application de ces équations.

(1381). Réflexions sur ces applications, et sur les pentes du chemin corres- pondantes aux directions dans lesquelles on pousse ou tire.

(1282). Cas où l'homme est employé à lancer une masse; recherche de la valeur de la force accélératrice qu'il communique à cette masse.

Equation qui donne la hauteur due à la vitesse finale.

(ia88). Ce que devient cette équation en supposant le bras également éloi- gné de la verticale au commencement et à la fin de l'action de 1 homme sur le corps.

(îaoo). Application de l'équation qui résulte de cette hypothèse, fiaoi). Cas où l'on introduit dans la question le flottement ou d'autre* obs- tacles semblables.

De la force des chevaux.

(129a). Analogie des recherches sur la force de l'homme et de celles sur la force des animaux. (iao,3). Défaut de connoissances expérimentales sur cette matière. (iag4). Détails sur la marche du cheval. ( laflfl). Du cheval employé à porter des fardeaux Tomo L ^ liii