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Page:De Rives - Le Chevalier Falardeau, 1862.djvu/62

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FALARDEAU.

Quelques heures après, le peintre était assis à la table du duc.

Après le repas, le prince, détachant de son cou une magnifique épingle en brillant, lui dit en la lui présentant :

« — Chevalier, voilà pour votre cadeau. »

Puis il ajouta, en souriant :

« — Veuillez, je vous prie, passer chez mon chancelier.... »

Le titre de Chevalier que le duc venait de lui donner et l’air quelque peu mystérieux avec lequel il appuya sur ces dernières paroles, intriguèrent vivement notre héros.

Aussi se hâta-t-il de passer chez le chancelier, qui lui remit des lettres