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Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome I, 1807.djvu/424

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NOTES.

nascentium mercator placidissimus, pluribus propè solus quàm ceteri in omnibus terris amnes, accolitur, aspiciturque villis. Nullique fluviorum minùs licet, inclusis utrinque lateribus : nec tamen ipse pugnat, quanquam creber ac subitîs incrementis, et nusquam magis aquis quàm in ipsâ urbe stagnantibus. Quin immo vates intelligitur potiùs ac monitor, auctu semper religiosus verius, quàm sævus.

Page 222, ligne 21.

( 16 M. Roscoe, auteur de l’Histoire des Médicis, a fait paraître plus nouvellement, en Angleterre, une histoire de Léon X ; qui est un véritable chef-d’œuvre en ce genre, et il y raconte toutes les marques d’estime et d’admiration que les princes et le peuple d’Italie ont données aux hommes de lettres distingués ; il montre aussi avec impartialité qu’un grand nombre de papes ont eu, à cet égard, une conduite très-libérale.

Page 239, ligne 24.

(17 Cesarotti, Verri, Bettinelli sont trois auteurs vivans qui ont mis de la pensée dans la prose italienne ; il faut avouer que ce n’est pas à cela qu’on la destine depuis long-temps.

Page 257, ligne 25,

( 18 Giovanni Pindemonte a publié nouvellement un théâtre dont les sujets sont pris dans l’histoire italienne, et c’est une entreprise très-intéressante et très-louable. Le nom des Pindemonte est aussi illustré par Hippolito Pindemonte, l’un des poëtes actuels de l’Italie qui a le plus de charme et de douceur.