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Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome I, 1807.djvu/426

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NOTES.

grandes questions que l’ame et la pensée agitent sans cesse en nous-mêmes.

Page 315, ligne 27.

(21 Dans un journal, intitulé l’Europe, on peut trouver des observations pleines de profondeur et de sagacité sur les sujets qui conviennent à la peinture ; j’y ai puisé plusieurs des réflexions qu’on vient de lire ; M, Frédéric Schlegel en est l’auteur : c’est une mine inépuisable que cet écrivain, et que les penseurs allemands en général.

Page 338, ligne 9.

(21 Les tableaux historiques qui composent la galerie de Corinne sont des copies ou des originaux du Brutus de David, du Marius de Drouet, du Bélisaire de Gérard. Parmi les autres tableaux cités, celui de Didon a été fait par M. Rehberg, peintre allemand ; celui de Clorinde est dans la galerie de Florence, celui de Macbeth est dans ïa collection anglaise des tableaux pour Shakespeare, et celui de Phèdre est de Guérin ; enfin, les deux paysages de Cincinnatus et d’Ossian sont à Rome, et M. Wallis, peintre anglais, en est l’auteur.

Page 343, ligne 3.

(22 Je demandais à une petite fille toscane laquelle était la plus jolie d’elle ou de sa sœur ? Ah ! me répondit-elle, il più bel viso è il mio, le plus beau visage est le mien.

Page 350, ligne 6.

(23 Un postillon italien ; qui voyait mourir son cheval,