Page:De Staël - Corinne ou l'Italie, Tome II, 1807.djvu/468

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est fini : mais l’angélique figure du Corrège n’a rien perdu de ses charmes ; et l’homme malheureux qui fit tant de mal à l’une ne trahira jamais l’autre. — En achevant ces mots, il sortit pour cacher son trouble.