Page:De l'excellence et de la supériorité de la femme.djvu/43

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n’en est aucunement salie ; au lieu qu’un homme, quel que soit le nombre de fois qu’il se soit lavé, trouble et salit toujours l’eau dans laquelle il se lave. De plus, le sang, dans l’homme, se purge de ses superfluités par son visage, qui est ce qu’il y a en lui de plus noble. Mais la nature y a pourvu avantageusement dans la femme. Cette purgation se fait, chez elle, dans des temps réglés et d’une manière fort secrète. La nature ayant permis à l’homme seul de diriger ses regards vers les cieux (7) ; la femme, pour ne cesser de les contempler, tombe toujours sur le dos, lorsqu’il lui arrive de tomber, et elle ne tombe jamais autrement, à moins qu’elle ne le veuille.