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ROMAN
UN DUEL À VAPEUR
suite et fin[1].
Quand nous fûmes dans la rue, Tom Tompson me dit :
« Écoute, William, il ne faudrait pas laisser traîner cette petite affaire.
— Certes, Tom, je comprends aussi bien que vous la nécessité d’en finir une bonne fois ; mais j’avoue que je suis un peu découragé.
— Découragé, mon fils ! qu’est-ce que c’est que ce mot-là ?
— Ne vous emportez pas, Tom ; voici ce que je veux dire : Mon idée, que nous avons trouvée si admirable au premier abord, me semble aujourd’hui impossible comme exécution.
— Je te l’ai dit cent fois, mon fils ; mais tu
- ↑ Voir le no 390.