— Ce matin, Georges[1] est venu m’invitera dîner de la part de sa mère, qui vient pour deux jours avec Mme Barbier[2] et M. P… et son mari.
Villot vient un moment dans la journée ; nous avons été assez tristes à cause de toutes les menaces du temps.
Le soir pourtant je me suis mis en train et ai causé un peu. Revenu à onze heures. Mme Barbier est très amusante.
Lundi 20 mai. — J’ai été vers deux heures les voir jusqu’au départ de quatre heures et demie et les ai menés jusqu’au chemin de fer. Je disais à Mme Barbier que l’indigne pantalon des femmes était un attentat aux droits de l’homme.
Jeudi 23 mai. — Travaillé au Chasseur de lions et au Michel-Ange[3].
— Sorti pour aller voir Mme Quantinet. Elle est partie pour Paris…
Vers cinq heures, promenade à l’allée de l’Ermitage. Temps charmant, quoique chaud. Joui délicieusement de cette heure charmante qui m’attriste moins qu’autrefois.
J’ai découvert dans cette grande allée un petit