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Page:Delair - L’Éloge d’Alexandre Dumas, 1872.djvu/31

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Scène septième.

Ô poëte, conteur, magicien, — merci !
Que ceux que tu chantas, que ce peuple qui t’aime
Te loue, et que la foule, à cette heure suprême,
Couronne de lauriers ton beau front inspiré !
Qu’ils te jonchent de fleurs… Moi, je t’embrasserai !

Elle baise le buste au front, pendant que les acteurs jettent à leurs pieds des fleurs et des couronnes.