a. Avec le souffre, sous forme de cinabre.
b. Avec des schistes.
c. Avec des bitumes.
Ce terrain contient d’ailleurs, plusieurs autres minéraux.
a. Du fer sulfuré, ou pyriteux ;
Du fer oxidé.
b. Du bitume.
c. Des schistes bitumineux, et non bitumineux.
d. Des coquilles ou lumachelles (pag. 174) le plus souvent brisées »
On doit conclure, de tous ces faits, que dans la mine d’Idria,
1° Il y avait, lors de sa formation, une très-grande quantité de mercure qui avait été apporté des terrains primitifs, suivant les probabilités.
2°. Il y avait une grande quantité de fer.
3°. Une grande quantité de soufre.
4°. Il s’y trouvait également des bitumes provenans des terrains secondaires.
5°. Des schistes, souvent bitumineux.
6°. Une immense quantité de coquilles.
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7°. Toutes ces substances ont été agitées de mouvemens violens, qui les ont mélangées, ont brisé les coquilles…
8°. Le mercure et le soufre se sont combinés, et ont formé le cinabre.
9°. Néanmoins la combinaison du mercure n’a pas été entière, une portion est demeurée à l’état natif.
10°. Le fer et le soufre se sont également combinés.
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