RÉFORMATION DU CALENDRIER. 3 9 n=M+(L — A), L — A doit être positif ou o ; s’il est négatif, ajoutez 7. Soit A=326, c’est l’année qui a suivi le Concile de Nicce, ^r),=(^),=4=N ) ë^^^é^?; #^ L=jn — (A — 5) — =7«— 523— 8i=7«— 404=7^-5=7-5=2 , 11=34+0=5 avril. 25i e de la pe’riode. On ve’rifierait ainsi la table que Clavius a donnée, p. 66 et 67, des Pâques de l’ancien calendrier. Dans ce calendrier, les bissextiles revenaient de 4 en 4 aos ; au bout de 4 ans > l a lettre L était L — 5 , à cause des deux lettres de la bissextile ; L — 5 équivaut à (L-f-2); au bout de 7 fois quatre ans, ou 28 ans, la lettre était (L — 5.7) ou (L-f-2.7), et ces deux expressions se réduisent à L; cet intervalle de 28 ans s’appelait cycle solaire, parce qu’il rame- nait la lettre dominicale, celle qui marquait le jour du Soleil ou le di- manche. Le cycle solaire servait donc alors à trouver la lettre dominicale. Ce cycle avait commencé en l’an 19 de notre ère, ou, ce qui revient au même, en l’an — g ; ainsi l’année du cycle solaire se trouvait en faisant (~^jr) ’ ^ C c l uol ’ eot donnait les cycles écoulés, le reste était l’année courante du cycle. Ainsi, en i56o, on avait(- ! ~^ = 1. Les lettres dominicales étaient G et F, parce que l’année était bissextile; l’année commençait par un lundi, puisque le i er de janvier était toujours marqué A qui vient après G. C’est ce qu’on voit dans la figure O , pl. 1 , qui est le cycle solaire. Ce cycle est fait pour i54o, qui était la neuvième du cycle; les lettres étaient D, C, l’année commençait par un jeudi, puisque le dimanche n’arrivait que le 4- Dans le cercle extérieur, inscrivez les années i54o, 4>>4 2 > etc., jus- qu’à 1 567. Dans le cercle suivant , melîez par ordre les 28 nombresç), 10, 1 1, etc.. . 8,
