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Page:Delarue-Mardrus - Horizons, 1904.djvu/165

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Bientôt, le dernier cri du soleil dut se taire.
— Or, quand le jour mourut dévoré par la nuit,
Je compris tristement qu’au choc de quelque bruit
L’œgipan repartait sans moi vers les mystères.