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Page:Delarue-Mardrus - L’hermine passant, 1938.djvu/43

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III

À l’avance, Mlle Marguerite et son frère s’amusaient tant, que leur souffle en était raccourci. Le plus curieux est qu’ils n’avaient pour ainsi dire pas prémédité leur farce. Un enjolivement des circonstances, rien de plus.

Après une nuit mal dormie dans leur