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Page:Delarue-Mardrus - L’hermine passant, 1938.djvu/83

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V

On ne recommence jamais la seconde fois un coup réussi.

Grâce à Dieu, je ne sais quel sentiment me fit dire à mon frère, au moment d’arriver à la Quinteharde :

— Ce n’est pas la peine, aujourd’hui, de faire notre entrée victuailles en main. Nous