dence pour remplir ce monde de bonheur. »
Et Romanus : « Ce que nous savons de l’évolution accomplie dans le passé peut suffire à nous assurer que de nouveaux progrès analogues favoriseront hautement le bien-être physique et mental des chrétiens des âges futurs » (article publié dans la Contemporary Review).
Le bien-être ! voilà ce qui, d’après les Américanistes, doit être désormais prêché au peuple, si l’on veut répondre au « nouvel état de l’esprit humain ».
« Les hommes accepteront-ils des enseignements sur la condition du bien-être dans le monde à venir de la part de gens qui se montrent eux-mêmes si lamentablement ignorants sur les conditions du bien-être dans le monde où nous sommes ? » (Id., ibid.)
Et le P. Hecker : « L’Église pourvoit au salut de l’âme par des moyens spirituels, tels que la prière, la pénitence, l’Eucharistie et les autres sacrements. Il lui faut maintenant pourvoir au salut et à la transfiguration du corps par des sacrements terrestres. » ( Vie, p. 102.)
L’on ne saurait croire à quel point ces aberrations sont entrées dans l’esprit des démo-