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Je pars, il le faut, et je cède ;
Mais le cœur me saigne en partant,
Qu’un plus riche qui te possède
Soit heureux où nous l’étions tant !
Automne 1839
Je pars, il le faut, et je cède ;
Mais le cœur me saigne en partant,
Qu’un plus riche qui te possède
Soit heureux où nous l’étions tant !
Automne 1839