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Page:Delille - Œuvres complètes, Didot, 1840.djvu/20

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avec le texte en regard, par M. Dubois, 1808, in-18 ; Poésies fugitives ; 1802 : le recueil publié sous le titre de Poésies diverses, an ix, 1801, in-12 et in-18, a été désavoué par Delille ; Dithyrambe sur l’Immortalité de l’ame, suivi du passage du Saint-Gothard, poëme traduit de l’anglais, de madame la duchesse Devonshire, 1802 ; la Pitié, poëme en quatre chants, Londres et Paris, 1803 : ce poëme a été tronqué dans la première édition qui parut en France ; une édition complète, faite en même temps, fut saisie par la police, et l’un des éditeurs fut emprisonné ; l’Énéide de Virgile, traduite en vers français, 1805 ; l’Imagination, poëme en huit chants, 1806 ; les Trois Règnes de la Nature, 1809 ; la Conversation, 1812. Les Œuvres complètes de Delille ont été publiées en 17 volumes in-8°, Paris, 1816, et en 16 volumes in-8°, Paris, 1824.

MM. Regnaud de Saint-Jean d’Angely, Arnault et Delambre, ont prononcé l’éloge funèbre de Delille sur sa tombe. M. Campenon, son successeur à l’Institut, lui a payé un juste tribut d’éloges, ainsi que M. Tissot, qui l’a remplacé dans la chaire de poésie latine, au Collège de France.


fin de la notice.