Page:Derème - La Verdure dorée, nouv. éd.djvu/147

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.
123
la verdure dorée

LXXVII


Puisque tout est pareil aux feuillages labiles,
C’est vainement que sur mes flûtes malhabiles
Je chante les jongleurs, ta grâce et nos doigts joints.
Le monde et ta beauté n’en passeront pas moins.
C’est vrai. Mais par le rythme où mon rêve s’applique
Nous entendrons passer l’univers en musique.