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la verdure dorée

XCII


Laisse. La passion vaut seule que je vive
Et qu’ébloui sous les feuillages de la rive
Je dédie à l’azur cette coupe où je bois,
Et que pareil à l’eau qui reflète les bois,
Les nuages, la lune et la voûte profonde,
Je ne sois plus qu’un hymne à la gloire du monde.