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Page:Der Marne-Feldzug - die Schlacht - mit zehn Karten und sechs Skizzen.djvu/156

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encore renforcé la confiance en la victoire qui vivait en eux, et la volonté de tenir dans la crise difficile qui arrivait.

Après le retour de l'Empereur eut lieu le rapport usuel du chef d'état-major général. C'est alors que l'Empereur eut l'impression (communication du 3/6/25) que le général v. Moltke, sous la pression de la terrible responsabilité et de la tension psychique incessante dans toute la journée, « se serait peut-être déjà intérieurement familiarisé avec la pensée d'une retraite. » Pour retirer tout fondement une fois pour toutes à ce genre de considérations, il donna au chef d'état-major général comme point de repère pour la conduite ultérieure de la bataille l'ordre clair et précis : « Attaquer, tant que cela marche ; sous aucun prétexte un pas en arrière (Le général v. Plessen rapporte dans un mémo du 16/12/25 qu'il se souvient précisément de l'incident : « Sa Majesté a donné cet ordre au général v. Moltke. » Le général baron v. Lyncker écrit qu'il se souvient avec la plus grande précision que : « Sa Majesté avait cette conception et l'a exprimée plusieurs fois dans ce sens. »). »