Page:Des Essarts - Les Voyages de l’esprit, 1869.djvu/157

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pas seulement des sagaces remarques du lettré et des larges aperçus du penseur, nous devons à cette révélation continuelle d’un esprit qui s’analyse autant qu’il analyse autrui la connaissance d’un écrivain qui est un homme, de celui, en un mot, qui chez nous a le plus réclamé pour l’activité de l’âme, et qui nous fait sentir en lui dans sa plénitude de vie spirituelle une des plus nobles natures de ce temps.