Page:Desbordes-Valmore - Les Pleurs, 1834.djvu/225

La bibliothèque libre.
Cette page a été validée par deux contributeurs.

Ondine ! enfant joyeux qui bondis sur la terre,
Mobile comme l’eau qui t’a donné son nom,
Es-tu d’un séraphin le miroir solitaire ?
Sous ta grâce mortelle orne-t-il ma maison ?

Quand je t’y vois glisser dansante et gracieuse,
Je sens flotter mon ame errante autour de toi :