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Page:Desbordes-Valmore - Les Pleurs, 1834.djvu/267

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LES PLEURS.

Vos grâces brûlantes
De divins amours,
Vous rendaient trop lentes
Les nuits de nos jours !

Si, frêle et chérie.
Vous quittez ce lieu,
De votre patrie,
Criez-nous adieu !
Pour moi, désolée
De l’oubli du temps,
Moi, l’autre exilée,
Je prie, et j’attends !