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LE SONGE.
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Oui, l’amour vit d’erreurs et de pressentimens.
Eh ! qui ne lui connaît, dans ses vagues tourmens,
Pour irriter sa fièvre ou calmer ses alarmes,
Des superstitions, des augures, des charmes ?
On dirait qu’immortel, ce tyran passager,
À son frêle avenir ne voit rien d’étranger.
— M. H. DE LATOUCHE. —
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