Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, III.djvu/250

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2^8 Correspondance. 11,266-267.

bonne, ny de qui i'efpere des iugemens plus finceres, ie me fuis propofé de chercher particulièrement leur protedion ; et pource que vous elles Tvn des princi- paux de leur Cors "^^ & que vous m'auez toujours fait l'honneur de me témoigner de Taffedion ; et fur 5 jtout à caufe que c'eft la caufe de Dieu que i'ay entre- pris de deffendre, i'efpere beaucoup d'affiftance de vous en cecy, tant par vollre confeil, en auertiifant le Père Merfenne de la façon qu'il doit ménager cette affaire, que par voflre faueur, en me procurant des 10 iuges fauorables, & en vous mettant de leur nombre. En quoy vous m'obligerez à eftre paifionnément toute ma vie,

Monfieur & R. P.,

Vollre tres-humble, & tres-obeïfîant i5 feruiteur, descartes.

CCXVI.

Descartes a Mersenne.

[Leyde], 11 novembre 1640. Texte de Clerselier, tome II, lettre 47, p. 267-268.

Cette lettre, comme la précédente, a été jointe à la lettre CCXIII ci-avant^ puis remise par Hiiygens à Descartes, qui les adressa à Mersmnt le 18 novembre, avec la leltf-e CCXVIII ci-apr-ès.

Mon Reuerend Père, le vous enuoye enfin mon écrit de Metaphyfique,

a. i.e P. Gibieuf avait été reçu, en 1609, de la Société de Sorbonne,

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