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702 Correspondance,

��LETTRE CXCIII, page 92.

Ajouter à l'éclaircissement. — Les deux filles aînées de David Le Leu de Wilhelni, Constantia (Tet), née le 21 décembre i63?, et /Egidia (Ida), née au commencement de i6?5, sont assez fréquemment mentionnées dans la Correspondance de Chrisliaan Hiij'gens, en cours de publication par les soins de la -Société hollandaise des Sciences. Elles ont toutes deux dépassé la cinquantaine sans se marier, mais on ne rencontre aucune allu- sion à une infirmité de l'une ou de l'autre. La probabilité n'en reste pas moins que la malade de 1640 ait été l'une d'elles, et même plutôt l'ainée. Constantia, si la maladie a été plusieurs années à se former, comme semble bien le dire Descartes (plus haut, p. 9?, 1. 4-8).

��LETTRE CXCV, page 96.

Ajouter à l'éclaircissement. — C'est à torfque Baillet. dans le passage que nous avons reproduit, suppose que Mersenne aurait fait, avant juillet 1640, le voyage en Italie dont il avait formé le projet en janvier (voir p. i5, 1. 20). Il est aisé de constater, par les lettres de Descaftes du pre- mier semestre de cette année 1640, que le Minime n'a pu, pendant cette période, entreprendre aucun voyage.

��LETTRE ce, page 149. L'autographe porte l'adresse :

Au Reuerend Père Le Reu"'^. Père Mercenne Religieux de l'ordre des pères Minimes en leur Couuent proche de la place royale A Paris. ij S (marque du port).

LETTRE CCXIV, page 234, ligne 6.

Ce « Discours de la reflexion » ne serait-il pas l'écrit de Hobbes, qui fera l'occasion de la lettre CCXXVIII du 21 janvier 1641 (p. 287)? Il

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