Page:Descartes - Œuvres, éd. Adam et Tannery, IV.djvu/375

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11,14- CDXXI. — Février 1646. }6i

cum circulari : vt enim perfe&e congruat, debent fin- gula; partes vnius fingulis alterius eodem tempore congruere, non autem fucceffiue. Nec fimile eft exem- plum panni, pag. 9, quia fingularum vlnarum appli- 5 catio fit tota fimul, non autem hîc fingularum par- tium.

Pag. 1 1 . Nemo relinquit quodnon habet, eft fophifma. Nec enim calamus habet lineas quas relinquit in chartâ, cùm motu fuo eas ducit. Et falfa funt quae

«o ibi fequuntur.

Pag. 16 & 17. Diftin&iones inter rarefaélionem fuc- cejjiuam & permanentem, item inter motum naturalem & per accidens, funt fi&itiœ, nec habent vllum in re- rum veritate fundamentum. Ex quibus reliqua omnia

• 5 facile diluuntur.

Febr., anno Dom. 1646.

��L'imprime sur lequel, dans la lettre qui précède, Descartes a porté son jugement, n'a point été retrouvé, et nous n'avons d'autre part aucune indi- cation ni sur l'auteur, ni sur le lieu de l'impression. On ne peut, par suite, former aucune conjecture relative au correspondant qui avait demandé l'opinion de Descartes.

Evidemment le sujet de l'imprimé était Yaporie du ch. ib des Méca- niques d'Aristote (cf. t. II, p. 436, et Véclaircitsement, p. 450) : « On de- » mande comment, lorsque deux cercles ont un même centre, la révolu- » tion par roulement se t'ait, pour le plus grand comme pour le plus petit, » suivant des lignes égales, tandis que, si on les fait rouler isolément, les » lignes correspondant à leur révolution sont entre elles comme les gran- » deurs (diamètres) de ces cercles. Déplus, comment, lorsque le centre est 1 le même pour les deux cercles, la ligne correspondant à la révolution » par roulement est tantôt de la grandeur (de la circonférence) du petit » cercle, tantôt de celle du grand cercle. »

��Correspondance. IV. 46

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