CDXCII. — Septembre 1647. 77
fiiperficie A B du cheuron feroit feparée de la muraille par la force qui eft en C,au lieu que la raifon veut que le cheuron, fe rompant vers A, fe rompe aulTy vers B,
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���& que fa partie B s'approche quelque peu de la mu- 5 raille, lorfque fa partie A s'en éloigne; au moyen de quoy, la force mife en C ne doit pas eftre fi grande qu'a dit Galilée.
La Bibliothèque de Vienne possède quatre lettres de Le Tenncur à Mersenne, dont les deux dernières seulement, du 21 octobre 1647 et du 16 janvier 1648, menticjnnent cette question (une lettre, du K) ou 20 dé- cembre, manque entre les deux). Quant aux premières, du 21 mai et du I ;^ sept. 1617, elles n'en parlent pas; la question avait donc été posée dans une autre lettre, qui serait perdue, probablement dans la lettre du 28 mai. à laquelle renvoie Descaries.
Le l'enneur écrivit, en effet, à Mersenne, 21 octobre 1(147 .'
« Vous dites bien que M' Descartes a veu ce que je vous ay escrii du » soliueau sellé dans le mur, et vous en a donné son avis et le sens de » tjalilée; mais vous ne me mandés point s'il a aprouvé ou improuué mes » sentiments. Nous sauroivs cela quelque jour. . . »
V()ici d'autres documents curieux, tirés de cette correspondance :
Lettre précédente de Le Tenneurà Mersenne, i3 sept. 1647 :
« La vostre du 2" m'a jiresque lait naitre une gangrené a l'esprit, pour •• raison de celle que vous aprehendez pour votre bras; au moins m'a-
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