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5J-.S4. COGITATIONES PRIVATiE. 247

hoc paradigma proceflionum in numeris i, 2, j, 4; in figuris, 9£, ^,CC^;iT^ angulis redis duarum linearum, trium, quatuor.

Data bajî pyramidis reâangulœ, facile înveniunîur la- 5 tera fuper bajîn^ .

Sint% V. g., latera bafis, y/ij, y/20 & ^. Pro primo latere fupra bafin ponatur i 9£ ; pro altero, y/- 1 5 — 1 3'- ; & pro tertio, \J-20 — i^f- ; quorum duorum potentia, quia aequalis potentiae lateris, eft eequalis ^ j — 2^', vel ro I g- geq. 4. Ergo nota bafi & angulo | oppofito, totam pyramidem poffumus agnofcere, vt de triangulo Eu- clides demonftrat.

Tetraedri redanguli latera ad bafin a (3 y fupra bafin erunt :

a. « Latus, potentia, cubus quoque. » [Note de Leibni\.)

b. On remarquera, dans tout ce qui suit, non seulement les caractères cossiques, Q^, J et C^, mais une autre notation indiquée aussi par Clavius, au chap. ii de son Algebra (voir ci-avant, p. i 54, note c) :

« J. Zenfus, fiue Quadratus. Alij Quadratum exprimunt hoccharaflere, » q, \\ 1 g, 3oq, 8q, &.C. . . »

« JJ- Zenzizenfus, (lue Quadratiquadratus. Nonnulli ita fignant, qq, vt » 3 qq, loqq, &c. . . »

Quant aux lettres grecques o, p, y, que Ton trouve aussi, n'oublions pçs que Foucher de Careil n'a eu sous les yeux qu'une copie de Leibniz. Peut- être Descartes avait-il écrit simplement a, b, c.

c. Dans tout ce qui va suivre, le signe de la racine, l/, vaut pour toutes les valeurs comprises entre deux points, J/. 20 — i J., ces deux points tenant lieu de parenthèses, ou encore de la barre hori^^ontale que l'on trace maintenant au-dessus, ^/2o — x'. Voir à ce sujet t. III de la présente édition, p. 196-197.

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