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Page:Desrosiers - La fin de la terre, 1931.djvu/59

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LA FIN DE LA TERRE
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Jusqu’à leur toute dernière fin, les hommes ne seraient donc pas parvenus à l’unanimité totale sur un sujet donné, peut-être était-ce utile à la beauté du monde… Puis, une opposition perpétuelle surgissant à toutes les hypothèses avait été le principe des puissantes et fécondes initiatives.

Après tant de luttes séculaires, la centralisation de l’autorité politique et administrative avait été réalisée. Quant à l’unité de pensée, non pas !

Mais la retraite hautaine, le retranchement dédaigneux dans la solitude de Herbrôm Shnerr seraient-ils présomptueux ? C’est ce que l’avenir nous apprendra.