… « Et vous, maîtres, témoignez de l’affection à vos serviteurs, ne les traitant point avec rudesse et menace ; sachant que vous avez les uns et les autres un maître commun dans le Ciel qui n’aura point d’égard à la condition des personnes. »[1]
« Revêtez-vous de l’homme nouveau :
« Où il n’y a différence ni de gentil ni de juif, ni de barbare ni de Scythe, ni d’esclave ni de libre, mais où Jésus-Christ est tout en tous. »[2]
« Vous, maîtres rendez à vos serviteurs ce que l’équité et la justice demandent de vous, sachant que vous avez aussi bien qu’eux un maître qui est dans le ciel. »[3]
« La loi c’est pas faite pour le juste, mais pour les méchants et les insoumis,…
« Les fornicateurs, les abominables, ceux qui volent des hommes libres pour en faire des esclaves. »[4]
Vous voyez, Messieurs, que les abolitionnistes ne sont pas en si mauvaise compagnie après tout.