de Corticelli et de Bencirechi ; pour l’allemand, celles de Gotschedt et de Junker ; et pour l’anglais, celles de Siret et de Mather-Flint. Il est aisé de voir déjà que dans l’arrangement de ce tableau, je n’ai distribué ni les modes ni les tems, suivant mes principes. Il ne m’a pas été possible non plus de suivre complettement aucun de ces grammairiens, parce qu’ils différent beaucoup entr’eux. Je me suis borné à recueillir exactement tous les tems dont ils parlent, et à les arranger, à-peu-près suivant la méthode qui m’a paru la plus généralement suivie, et qui ne diffère pas beaucoup de celle suivant laquelle nous les présente Condillac. J’y ai pourtant fait quelques légers changemens, qui ont pour but de rendre certains rapprochemens plus sensibles ; mais ce seront nos propres observations sur ces modes et sur ces tems, qui nous apprendront ce que nous en devons penser, et qui nous conduiront à en dresser un tableau vraiment
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