Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/44

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Et solitaire au cœur de la grande Nature,
Comme un archange blond qui revêtit l’armure
Mon rêve étincela dans la strophe plastique ;

Afin de me ravir pour toujours à moi-même,
Et de pouvoir crier à la gloire impudique
Mon nom ! dans la rafale ardente du Poème.