Page:Deubel - Poésies, 1906.djvu/56

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Ne crains-tu pas celui que le mal désenchante,
Aveugle à ce qui brille et sourd à ce qui chante
Dont la vie est semblable à quelque morne grève

Et qui, dans le jour vaste et multiple qui luit,
Trahi par la chimère en fuite de son rêve
Sanglote vers l’étroite unité de la nuit ?