Cette nouvelle phase resserra les liens du ménage. Pépina choyait son amant, le prince, positivement frappé de ce changement, augmenta la somme de ses bontés.
La troisième phase détermina une rupture entre Pépina et Bettina.
Un prince sérieux, des amours de rencontre et de nombreux caprices ne suffisaient plus à Bettina.
L’abus excessif de ses fonctions exaltait son imagination et lui causait des désirs insatiables, immodérés, d’apaiser sa sensibilité permanente.
Son amour était une épouvante pour Pépina ; il usait de violence envers elle.
La résistance de la ballerine le mettait en fureur, il entrait dans des rages de possession qui consternaient l’Italienne.
Une nuit, comme elle le refusait, il l’étrangla presque et la viola.
Le prince, les domestiques réveillés par les cris de Pépina, l’arrachèrent à la brutalité lascive de