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CHAPITRE II

Beau début promet suite heureuse.


Le prince était si bon pour Arthur, que celui-ci supporta sans mot dire la fantaisie de ses goûts. Cette nouvelle manière de comprendre l’amour relevait Arthur à ses propres yeux. C’était le prince qui se dégradait et non plus lui. Cependant leur union fut troublée de nuages. Arthur devint capricieux. Il défendait sa vertu, fermait sa porte à son Altesse. Ou encore, bravant le relent de cassis-vin qui parfumait les dents creuses du prince, Arthur, que son amant appelait Cécile